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L'oiseau du paradis perdu (2002)

pour récitant (enfant), flûte en ut, clarinette en sib, cor, chœur d'enfants (cadre de l’Éducation Nationale), ensemble de flûtes à bec, 1 percussionniste, 2 violons, alto, violoncelle et contrebasse.

Conte musical d’après une idée originale de Claude-Henry du Bord, poète et traducteur.

Création le vendredi 6 juin 2003 au centre culturel Jacques Brel de Villebon-sur-Yvette par l'ensemble Imaginaire Sine qua non dirigé par Nicolas Brochot, avec la participation de 2 classes de l'école Andersen et de l'ensemble de flûtes à bec de l'école de musique de Villebon.

Durée : ca 50'

Non éditée

 

L’oiseau du paradis perdu est une allégorie sur la quête de soi et le désir d’être accepté dans sa différence. Mise à mal par la haine, la jalousie, la peur, l’envie de posséder ou de détruire ce qui ne ressemble à nul autre, cette recherche aboutit, malgré les vivicitudes et les contrariétés, à trouver un équilibre en s’ouvrant à l’inconnu.

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Il n’est possible de retrouver le paradis perdu qu’en acceptant de se laisser étonner et en reconnaissant un chant oublié.

 

A partir de ce simple argument les enfants doivent inventer l’histoire, les paroles des chants, les bruitages et éventuellement les décors pour une mise en scène (ou mise en espace/lumière).

 

La représentation en concert (accompagné par un ensemble professionnel) implique une participation active des enfants et un travail d'une pleine année scolaire impliquant autant les enseignant.e.s qu'un.e intervenant.e en milieu scolaire.

 

L'Education Nationale a édité un DVD scréren à partir du film de la création.

© CDDP 91, 2005 ISBN : 2-86637-442-8 référence : 7800 M 925

 

La réalisation de cette œuvre « ouverte » où la capacité créatrice des enfants est hautement sollicitée peut changer du tout au tout en fonction du temps de travail tout au long de l'année. Par exemple, l'enregistrement du DVD est le témoin d'un engagement hors du commun de tous les acteurs d'un projet monté en à peine 4 mois. Un plus long temps de travail aurait permis d'approfondir ce qui était prévu : plus développer et enrichir le texte de l'histoire dans la 1ère partie (dévolue à la parole), la 2ème partie étant principalement des chants dont les enfants doivent inventer les paroles.

Le vocal n'est pas plus important que la création littéraire et les bruitages.

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